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GENEVIEVE.
CHAPITRE XL.
Qui était ce voyageur qui s’intéressait
à ma tante.
à ma tante.
Il était nuit, on ne se voyait pas dans
cette voiture. Ma tante, trop émue de
l’événement cruel où elle venait de courir
doublement le risque de la vie, par
le sabre du voleur et par les roues de
la diligence… et qui nous avait enlevé
la dernière ressource qui nous restait
pour exister, ne faisait guères attention
aux voix de ceux qui l’interrogeaient
sur notre aventure ; elle ne distinguait
pas celle d’un homme qu’elle
connaissait bien et depuis long-temps,
mais à qui elle était fort éloignée de
penser alors, et dont elle ne pouvait
pas se croire si proche.
Ce même homme fut le premier à dire qu’il était à propos de ne pas la