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Mlliin. CXXXVII In Bezug auf den Kampf zwischen Vater und Sohn sei mir gestattet hier zunächst zu wiederholen, was ich in der Revue eritique d’histoire et de littörature 1868, II 413 f., bei Besprechung von C. C. Casati’s Schrift über den seitdem be- kanntlicli von W. Förster vollständig herausgegebenen Roman ’Kiebars li biaus’, in welchem, wie auch in dem teilweis mit ihm ttbereinstinmienden englischen Gedichte von Sir Degore, ein Kanii)f zwischen dem Helden und seinem Vater vorkommt, gesagt habe : ’On sait que le combat entre pbre et fils est un Heu coramun de la poösie öpique. C’est ainsi qu’on voit lutter Tun contre l’autre, — tantot avec une issue tragique, tantot Sans ce dönouemeut — Odysseus et Telegonos dans la tradition heroique grecque, Rostem et Sohrab dans celle des Perses, dans l’dpopde allemande Hildebrand et Hadubrand, Biterolf et Dietleib, Eiberich et Otnit, chez les Scandinaves Goede et Galder (voy. Grimm, Hildebrandslied p. 77), An Bogsweiger et son fils (voy. Uhland, Schriften zur Geschichte der Dichtung und Sage, I, 165), chez les Gallois Cuchullin et Conlach, Clesa- mohr et Carthon (voy. Germania de Pfeiffer, X, 338 ; Campbell, Populär tales of the West Highlands, III, 184), chez les Russes Ilja de Mourom et son fils (voy. Archiv für das Studium der neuereu Sprachen, XXXIII, 257), dans un romau provengal d’Arnaud Vidal de Castelnaudary le h^ros du roman, Guillaume de la Barre et son fils (v. P. Meyer, Guillaume de la Barre, Paris 1868, p. 20 et 27), dans le po^me anglais Sir Eglamour of Artoys (Ellis, Specimens, p. 537), Eglamour et Degraball, dans le pofeme Italien Anchroja Regina, Renaud de Moutauban et Gui (v. Du M^ril, Hist. de la po^sie scandinave, p. 123), enfin les deux d’Ailly dans la Henriade de Voltaire.’ Dazu hat Gaston Paris in einer Redaktionsnote S. 414 folgendes ntch hinzu- gefltgt : ’Ou peut joindre h ces combats ceux de Nalabron et Robastre dans Gaufrey, de Baudouin et du bätard de Bouillon dans Baudouin de Sebourc (eh. XXV), de Milon et de son fils dans le lai Milun de Marie de France ; celui de Renaud et d’Aimon dans Renaud de Montauban n’oflFre pas le meme caract^re.’ Der russische Gelehrte Orest Miller, auf dessen deutsche Abhandlung ’Das Hildebrandslied und die russischen Lieder von Ilja Murometz’ im Archiv fUr das Studium der Iueren Sprachen XXXIII (1863), 267, ich in obiger Zusammen-