Page:Diderot - Œuvres complètes, éd. Assézat, VII.djvu/287

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

je chasse le coquin qui a tramé tout ceci… Je romps à la fois deux mariages… Ma nièce, ma prude nièce s’en ressouviendra, je l’espère… Et le bonhomme, j’aurai mon tour avec lui… Je me venge du père, du fils, de la fille, de son ami. Commandeur ! quelle journée pour toi !