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main, qu’Apollon et l’Amour iraient au-devant de lui, et le placeraient à côté de Sapho.


LES FABLES ORIENTALES.


Il y en a quelques-unes tirées du poëte Sadi[1] ; les autres sont de l’invention de l’auteur. Ce n’est pas la partie de son ouvrage la moins utile et la moins agréable ; elles contiennent presque toutes une moralité profonde et vraie. Grands de la terre, lisez-les, et faites-les lire à vos enfants.

  1. Voyez ci-dessus, t. IV, le Gulistan ou le Rosier du poëte Sadi.