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INTRODUCTION

xij INTRODDCTIOM. pulcres des justes , et qui ressemblez K ceux qijû les ont pei’sécatés (i). »

Dans l’Évangile* rhëmoroïsse ne cherche à se guérir que par l’attouchement (j) de la robe de Jésus ; et quand les habitans de Genesareth envoyèrent leurs malades à Notre-’ Seigneur., ils ne le prièrent pas de les guérir, mais de permettre qu’ils touchassent le bord de ^sa r^e (5), à laquelle ils attribuaient la verra des miracles. Croyaient-ils donc qu’ils n# seraient point secourus par la simple parole de Jésus-Christ (4) ? ’ L’ombre de saint Pierre guérissait aussi les niaj|pdes (5)- ;^ et saint Paul faisait si ai- ^jmÿj^des tirades y que les tabliers et les naoucDoirs qui avaient touché son corps , rendaient la santé à tous ceux qui s’en frottaient avec foi (6). Calvin observe que les souliers de saint François et le peigne de sainte Marguerite avaient la même vertu pour ceux qui les baisaient (7). Après la mort des apôtres*, le culte des ’1^ a (i) Mathi eu , ’ r ’ ^ (») Luc, ch. 8. . • " , ’ (3) Marc, ch. 6 . • (4) Calvin, Commentaires sur l’harmonie des évangélistes. (5) Actes , ch. 5. (6) Actes, ch. Jÿ. (7) Commentaires sur les aetes des apSlres.^-’