du judaïsme, ꝟ. 11. Sa connaissance des formes plus classiques du grec peut confirmer cette origine. J. Belser, Einleitung in dos N. T., Fribourg-en-Brisgau, 1901,
mieux le grec que l’hébreu. Cf. Epist., xx. 4, t. xxli, col. 378. D’autre part, son exacte connaissance des usages juifs a fait penser à plusieurs qu’il était prosélyte. Saint
120. — Saint Luc. Évangéliaire de Cambridge. D’après Garrucci, Storia deW arte cristiana, t. iii, pi. 141.
p. 110-111. Les hébraïsmes de son style ne s’y opposent I Jérôme, Liber heb. qusest. in Gen., t. xxiii, col. 1002,
pas, car ils peuvent provenir des sources qu’il a reprorapporte cette tradition, sans l’accepter. Les fréquentes
duites dans ses écrits. D’ailleurs, il faut convenir avec relations de Luc avec les Apôtres et avec les chrétiens,
-Saint Jérôme, In ls., vi, 9, t. xxiv, col. 98 qu’il savait l convertis du judaïsme, ont suffi à le mettre au courant