il
ivres selon leur capric enne pour tromper 1 e d’antiquité. » — Dai s voyons apparaître ni ons souvent désormai simplement canoniqu cation ; mais il faut r ie s’appuie sur l’autori ogue ; qu’il range, dai liques, tels que Barucl il distingue rigoureus apocryphes ». L’origii ns un usage de l’Egli gène, In Num., Hom onsistait à faire lire ai =r, de Judith, de Tob irce qu’on n’y renconl t, par exemple, le Lév
; troublé et ne reçoit p
se, comme Origène, c lutorité divine desdeut tamment dans ses écri tés de foi et leur doni ent., 9, U, 17, 44, t. xx nt Cyrille de Jérusale
- me du judaïsme paies !
ânes que « les vingt-dei nt traduits les Septante 3 ; mais, dans ses écril anoniques comme Eci saint Athanase. — Sai 30), dans son poème si , t. xxxvii, col. 472, i s livres palestiniens (i
: « rm., i, 12, t. xxxvi
saint Basile et saint Gr s aux deutérocanoniqu e (vers 310-403), évêqi e, parle dans quatree , livres de l’Ancien Tes' 13, t. xliii, col. 244, 11 ), t.XLI, C0l. 413, t. XL e même, que trois foi : i du canon palestinie ressèment comme cai ( ueet, ajoute-t-il, « tou
, xxvi, 5, t. xlii, col.E
rienne, l’hérétique 1 h
ine partie des livres p
itique des cantiques,
fut condamné au sec
e (Coll. iv, 67, 68, Mai
e nous montre que. I'
ie influence qu’il ait
lore, est loin d'être
de l'Église dans laqi
nme nous le savons
[ue, était loin de part
anisme. Saint Jean C
tous les protocanoni
1 cite aussi la Sagi
istoire de Susanne
>uve dans les Œuvn
pas certain qu’elle
38 deutérocanoniqui
obattu expressémen
e son opinion sur le
t. lxxxi, col. 30. 1
ùstoire de Susanne.
enons de parler onl
émoignage mérite
phraate, entre 336 1
obie, lEcclésiastiqi