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Rcbecca.
R Èbbcca femme du Patriarche Ifaac i ?JI7ant que (on fils aîné “-i
infoira à 3 ? P U$ jCUne ’ no’rnn« Jacob, elle jCCr 7‘cy quoy ‘le’cIlc Vai"lât teudt«’ 7/n’V/’- °“,r dc,’a ?ai^° ».& dc *’en alI« pais étoignc, ou il fut vingt ans à garder les troupeaux au (crvice de Ion oncle, quovquM iut ne de Parens fi confidcrab’es Mais elle aima mieux le voir lepaïc d»clle , éloigné de fon païs» & réduit a la condition d'un fcrviteur> afin de prévenir par ce moyeo Ici maux qui pouvoienc naiftre de la haine d’un frère contre fon frcre,quc æen c oigner l’aitié » qui eftant méchant avoic bcïoin de la difeip !ine d’an Pcrc & <Tugc Mcrc vigilans U (oigneux. Les Meres pourront ap prendre de ccf deux exemples quelle doit eftre leur vigilance & leur application à éloigner de leurs cofaus cour ce qui les peut corrompre , 6c les engager dans le inal : & les Pcrcs appren dront de celuy d’Abraham a "déférer facilcmcnc a leurs femmes en ces fortes de chotcs > & autotifef leur conduire , quand elles n’ont pour but lue le bien de leuts enfans. La pieté leur fera faire de grandes réflexions fur de tels exemples» aufli bien que fur ceux qui fui vent.
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’^inne Mere de Samuel. Terrible punition, d* Hcli pour avoir négligé de «omgtr J fes enfans. A N n k Mcre du Prophète Saro“cI’ k obtenu ÿc Dieu etc cDÜnt p« •*’ T
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