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âcs*Parens & des Maiftres
exercice* qui pouroicn : p.cjudiucr à ce deroit. Miif aria qu’.ls le puiUc.it bien convaincre de l’alfiduité qu’ils doivent avoir auprès de leurs enfant poux former cotte Jevu cou taxe fur ta do ctrine 3c. la V»c-mc.ue de Çhtift, & for les promettes qu’ils ont fa ires à Dieu au £ a te ne de renoncer à Satan , à (et oeuvres & à (es pomp« i c’eft à dire , au peihc > au monde, & a tour et q»u appartient au mon le j il ne Cut que cou• filcrerec qu’eu oor peuté les Petes de l’Eglife.
LXIII •
Sintimens des Saints Peres fur l’éducation des enfant. Les P^ens comparez, aux. Eveques* . Aine Au’uftio éc Saint Ican Chrifjftome , preten leur que les Met es (oient autant de . Pafteuu & d’Evèqaes dan* ’ruts familles. Comme donc les Evêques Se les ^afteurs doivent eftrc, fé lon la rigmficac lon-.né uc Je leur nom apliqucz . à» veiller fans celle «>ur le troupeau qui cir a cflc confie , les Pères & les Mères doivent suffi eftre înrceflammcnc ap iqura à ‘J conduite & au gou- . vemrmeat de leur Fa-ni lie ,a*cc cette différence» qur kur allî tune J’iii eQrc encore p us grande ca • quelque faç >n que ce le des Paftcurs t puifque . leurs enfans ne iont fi pioches d’eux , qu’atia qu’l s kc ayent la nuit & k jour devant les yeux, & qu’ils ‘o eut . é noms de coûtes leurs demar— chesi au ku q >‘il n’cft pas pofible que les Pa yeurs voyent rou jours ceux dont ils doivent tcponke Les Parciib loycut les actions Je leuts en», fins les plus coin iiuncs 5c l’eipritavcc lequeli !^ agiflenc : tien ne (e dérobe à leur tonuodlan<" de ce qui les regar k , î’i ’S ont un peu d’app icatioa v & de vigilance , îU en peuvent-tensatquet ks moindres mouvement & le> n.oiudfCS inchoa— lions, foie au U en, fou au mal»
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