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un châtiment trei-knlibh aux enfans/& qui ne pouvant avoir de manvaiks fuites, pour vu quon nenufe qu’avec modération, peut pro duire de nés bons effets 5 &r que S. Paul même • défend de leur eftre trop levere & rigoureux, de peur de les irriter & de leur faire perdre zou rage. Cn prendroit pour une indulgence cruelle de ne pas châtier un enfant pour l’empêcher de fe jetter dMS k feu , ou dans un puits : & on ne croit pas devoir ufer de ch (liment pour em, sécher qu’il 11e fe précipité dans des feux éter nels. Cependant c’eft Dieu»même qui allure que k chârirnent peut avoir cc< cfièt admirable , 1* orx a vu qu’il hfffit pour qu’un enfant tombe dans la mort érernclle» de ne le pas chafticr de la verge/orfquc h tenu & la neeefftté le deman deur. La raifon en eft facile ; on entretient par cette indul’enre fes mauvaises inclinations ai : beu de les guérir , & de les affaiblir : de forte • que les fortifiant avec lare , elles dcvicancfct • enfin defefptrées <c incurables. L V l II. • àcj Parrnj vont on à un exces de douceur éu
a un excis de rigueur, La finie charité Jpùt temperer ces deux chopes,
L eft donc ciueîque fois neceffaiic d’ufcr
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d’un remede violent» ou povr arrefter le cours d’un plus grâr.d mal, oj pour Je prévenir. « . IMait on a de U peine â demeurer dans le milieu d’une fage modération ; 6c voulant fuir un excès • on tombe dans un autre fouvenj encore phll dangereux Cxfi là l’écueil eu tombent h pfa■ parc des parens , kl uns ^’un cof^c , les autres de l’autre. Ce qui revient que de Ce qu on luk plûtoQ l’humeur dars ’a conduite de la fa< :û !k> non pas la raifon. Ceux qui‘par leur peine
