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Dev. des Ts^ens & des Afrijlrt*
- jy avec des valets, beaucoup de percs àc de meret
le damnent , fit ion : caoC ? de la damnation de leurs enfans , pour ne pas coniger un fi horrible □ nus qui a des fuites plus funeftea qu’on ne peut dire , fie que les feules lumierea que donne icrainte de Dieu ,feront facilement rccounoiflre a ceux qui ne veulent pas s aveugler eux-me ncs, J’s auront me oie loin de les fane tous coucher leu ! à fcul , chacnn en ton petit lit fepaié de ceux drs autres. C’rrt ce que Samc Charles Barrom é : îccüinmandc aux païens co ces termes, k
- J ’$ auront loin de faire coucher leurs enfans au- cr
tant d’un.fexe quede l autre dans des lits lena-<e . xés j pour les.éloigner de roue dmger de tomber<f 4 dans l’impureté, donnant à chacun loi lit parti « eu.1er. < ‘cfl l’avis que leur donne encore Saintce François de Sales dans la première lettre du Livre fécond : Prcnés ? ;arde, dit-il, non tellement’* pour roc garçons , mais encore pour vos filles,ts qu’ils ne couchent fie ne dorment que feu 11. 11 <f n’eft pas croyable , combien cet avis cft utile,te Fexpencacc me lr rend recommandable tous iestfC jouis. U faut peu de choie puer couches une per» îonoc ; il vaur mieox qu’il eo couftc ud peu plus, que non pas de hasarder le ulut de fri enfans. Car il eft certain que les carçoos (e peuvent per dre les uns les autres, fit le» filles de même. Et c’d ,cc que ces lainw Hrciqtics avoient bien veu. Il ne faut.point non plus permettre aux enfans dut ftx~ daller jouer dans des lieux retirés, ayee ceux de l’autre lexe, non pas même les ficrci avec les foturs, ny Jesloeursavec lesfrétés. Le plut fenr & le mieux eh de les voir roujouis autant qu’on peut , pour iccrlcrvir comme d’Ange Gaidien^oa ni» nains ne s’en repoler que lut une .perfonnc.ÉdeiCj loigacufc fie vigilante,qui ciaij-’ cequ’iHajzr cuiodio eu ces îcqcquucu