Page:Devoirs des parens et des maistres, pour l'Education Chrestienne des Enfans, 1704.pdf/46

Cette page n’a pas encore été corrigée

pw t’ Educ Chrsfl, des Ehfau.’

I

éfü :rçc, quefoa clprir école ure & cicvc, ncfc trompait pas : «fie fi les Teres & les Merci içivcq ?> ce que c’cft que la putccé te a. chaftctt : , Ôc quillefQlx finie it Pheromt xu enx . dit fon enfance , le feui témoignage de leur contciencc les portera à. prendre cette précaution pour conferveri kart enfans pure & inviolab c cette innocence ri fi­ nale qui cl la mere de toutes les vertus. Ces dit cours forment facilement dans les cœurs rendirs. des affrétions humaines, qui à U fia fe peuvent, terminer à un amour déréglé. I s leur font venir du moins uadefir de lézarder ceux qu’on lotie , de rechercher leur converiarion & leurimiric, ce qui aPuine peuà peu let flinjm-J de l’impureté*, il n’y a rien uc p as dé icat, ry de pius facile à Aetrir & à perdre que la chaftc’é dans ces pus petits cofans-mcaies. Il ue faut pour ce a qu’une paro’e, un regard , ta v&J d*unc petite liberté* Une penfee un peu contraire i l’honnéteté 9 eft uneéûnce e qui tombant dans l’amc d’an enfant-, ya lume leuvent des incendies que rien ae peut éteindre. C’eft en ce point qu’un Pcrc fit une Merc doivent redoub e< leur vi-i ance fur kart enfans de l’no & de î’antrefexe, afin de ne xs peidre prefqoe jamsu.de vue., & ce point 1er expo Ce r aux iraics enfiamez lu nu m clput- S’il arrive , que ’e» enfai.s entendent de (emb.ables dt’cours , es parens doivcrc le p’uftot qu’ils peur vent en effacer ies imprciÜ^ns, en eur en eigtunt des maximes contraires, en b âm-nt en Icirt prelence ce que es autre* ont loué, ou louant ce qu’ils ont bi.ré, la »• que es enfaus *’*ppcccoivent, h ce a le peut, qu’an c fairixp é* , h ce n’eft qu’i s n padeut eux-mé n-s Is n’eft pas ce cfiarre up.éi ce a d’avertir qu’n oc leur fans j «-nais permettir d’être en a compagnie de ceux ou ïe, ceix* qui /ont dans la , bouche que det p<ioie> mes or dohonnetes 9 jo à doub.es fcnir