fn<r f Educ. Chrejf. des Enfans, cée dans Saint Mathieu & (tint Luc. A fin,dit. il** ejüc s’en fermant pour nn autre ufage , elle ** rem pille fa mémoire des chofcs dont elle doit<c un jour fe fou ve air. U’.uy eonfeillc de luy faire** apprendre par c«ur le Pfauticr » des Livre» de Salomon , l’Evangile, les a&es des Apôtres, leurs f pitres, & tout le refte de l’Ecriture de fuite, Il donne le même avis à Gaudcnce pour l’/hïUttâion de fa fille , & il veut qu’il luy fafle apprendreunt partie de ces Livre» depuü l’â^e de lepe eus ju’qu’à doute,
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’Maniéré d’infruirq les enfans des lebastyn & quelles deefis on leur doit apprendre. UN Pere k uneMere fai gn eux pouroient les plus cendres années apprendre à leurs cufaos Ici noms des vertus Chrccieoees/cur en par* lanc comme des choses aimables & piccicufes ; 6c les noms ces vices, lear en parlant av«c horreur, afin Jeteur if (pires dés le commencement Sc lorf•quelcs objets tant des impreffon» profondes Ce in effaçables dans les âmes rendrc5,quei’amour de la vertu , k la haine du vice. Pouiquoi rc leur pat parler da bon Leur de ceux qui art bien técujkdu malheur des méchant, en leur expliquant,autant ^u’il ? en font capab’es , ce que c’eft que de bien vivre , k d’éftre méchant, Poutqnoy, ne leur pal parler du Paradis comme de noftre patrie ; 1e dei’Ejfer comme d’un Heu £e apifces, de la mort donc le moment eft incertain ; lu ju^emetr, où* l’on doit rendre contre de tou»-& de la vie qui Je doit fuivre, afin de leur onftcr de bonne heure •cette idée que cette vie qae Bon mené ftr Fa terre •fi peu de chof«,<^j’on en doit faire peu d’eur, 3c de roui les faux biens que l’on y peut poffeder ; Ce tout le foin a<u Chrcftica doit dVe de .’een-
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