d’eux auctp* obcïflancc contraire à celle qu’ils doivent >• Dieu ; mais fi les enfans doivent avec rcfpccJ refufer en fes occasions de faire ce qn’ds demandent d’eux, ils ne font pas pour cela diC. penfez de lent obéir ça tout çc qui ne peut les éloignerde Dieu. XJs doivent eftrc foulais comme le ur-Chrift, avec lefas-Cbrift , s< dans l’elprit de IefusChrift.Cet enfant divin nous marque en core par cette cireonftance de fa vie l’infUnâ cô ne naturel tfckjChriftianifae, êc l’cftat qu’un Chrcftien,dc particulietemcr in enfant doiteboîfîr par foy-xacme , & dans-lequel la plupart des Chrcfticns (c dohenc fantifier. Peu deCbrefticrs font appeliez f à commander , & l’on ne s’y doit jamais porter de foy-meme. Tour le refte doit faire fon lalut en obdilfant, & c’eft poarquoy lefus-Chrift-a roula confacrer à lobeiflance la plus grande partie de fa vie, parccque ç’cûoic la voye ordinaire du falut des hommes. Il faut dire fa meme chofc de fon travail , de fa retraite , Jr h fon fîlencc.
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Il leur Apprend le travail, le filençe > la retraite.
Ous les hommes cftant enfant d’Adam, Je i coupab.’cs d» fa révolté eontreDieu,one efté coodamnez en fa perfonne à une vie de mifer ex > de peines U de travaux, <k à manger leur pain à la lueur de Jeur vifage. Et cette vie cft le moyen qucDicalcura donné pour fe reconcilier avec ’uy3& rentrer dans la poflclliua de fon Royaume» Tous les hommes edant corrompus , & leur mal fe communiquant très facilement par la converfatioo , par la vue, par les paroles, par l’exemple, il eft du devoir-«Tm Cbrefticu, 8c encore plu* d’un enfant qui eft foiblt & fans difeernement t d cviaer le public & 1« monde , & de fe raduire autant qu’il peut à une vie retirée fc cachée Et <y a/A.HS JÎgu qui, ^qidc Ctft le c<^ur que la lan-
