tion. — La Minerve ne comprend pas cela ! — Pour l’amour de Dieu, dites-nous donc ce qu’elle comprend.
M. Papineau a accusé le Dr. Nelson de toutes sortes de forfaits. Ici, la plume tombe des mains. Cette énormité n’a pas de nom. Citez donc quelque chose.
Le Dr. n’a pas attaqué M. Papineau dans sa vie privée.
Le reproche d’avoir transporté ses biens à ses parents n’a trait qu’à sa vie publique, n’est-ce pas, surtout quand vous dites qu’il l’a fait en secret ? Maintenant si la chose était secrète, comment donc l’avez vous su ? Vous voyez bien qu’il est impossible d’être plus gauchement irréfléchi que vous ne l’êtes. C’est à faire rire un enfant. Vous faites l’effet d’un homme qui, glissant sur un toit très incliné, s’accroche à tout et s’ensanglante inutilement les ongles pour se retenir.
De plus, je nie positivement le fait, et je vous mets, vous et vos pareils, au défi de le prouver. M. Papineau n’a jamais pensé, à transporter ses biens à qui que ce soit…
Qui ignore que M. Papineau est parti de St.-Denis ? Que ce soit à la sollicitation ou par l’ordre du Dr. il n’en est pas moins parti…
Tiens, voilà que vous changez l’état de la question ! D’abord vous avez reproché à M. Papineau d’être parti de lui-même et sans y avoir été engagé ; de s’être sauvé enfin. Vous ne pouvez pas réfuter les preuves que j’ai données ; vous vous sentez écrasé, et maintenant