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La Géométrie. — Livre III.

Et pourcequ’on ne trouve aucune racine, ni vraie, ni fausse, en ces deux dernières Équations, on connaît delà que les quatre de l’Équation dont elles procèdent sont imaginaires ; et que le Problème, pour lequel on l’a trouvée, est plan de sa nature ; mais qu’il ne saurait en aucune façon être construit, à cause que les quantités données ne peuvent se joindre.

Tout de même ayant

,

pourcequ’on trouve a2 + c2 pour y2, il faut écrire

,

et .

Car y est et est , et est .

D’où on connaît que la valeur de z est

,

ou bien

.

Et pourceque nous avons fait ci-dessus , nous apprenons que la quantité x, pour la connaissance de laquelle nous avons fait toutes ces opérations, est

.


Exemple de l’usage de ces réductions

Mais afin qu’on puisse mieux connaître l’utilité de