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1,14-"- DLX. — Juin 1649. 3^9

» ayant eu le vent de vostre retour, a des espions de toutes partz pour 1) estre aduerty de vostre passage, et m'a miz du nombre par sa dernière » du -« de ce moys. II aura peine de se resouldre a marcher, vous absent; » mais vous le confirmerez... » (Bibl. Nat.fr., ijgoi, f. 338 verso et f. 33g.)

A M. de Brisacier, i8 mai 1649 : « . . .lattendz M. Chanut au passage, » bien ayse de la permission que vous luy auez nioyennee... » [Ib., f. 3Si verso.)

Au même, i" juin 1649 : « Monsieur, Nous auons eu icy M. Chanut » passant comme vn esclair. Il y arriva le vendredy au soyr et en partit » le lendemain aprez midy. . . » {Ib.,f. 3So verso.)

Ici, c'est-à-dire à La Haye; vendredy et samedi, c'est-à-dire le 28 et le 29 mai 1649.

Ces mêmes lettres à Picot, du 7 et du 14 mai, se trouvent encore citées conjointement avec celles du 2 et du 23 avril, lettres DLVIII, p. 358 ci- avant, et DLXIX ci-après, éclaircissement. — Voir aussi lettre DLXXII à Picot du 9 octobre 1649, B.

��DLX.

Descartes a Elisabeth.

[Egmond, juin 1649.]

Texte de Clerselier, tome I, lettre 4», p. 14Î-144.

n A Madame Elizabeth, Princesse Palatine, etc. », sans date dans Clerselier. Mais la présente lettre, écrite « huit tours » après le passage de Chanut {p. 36 0, l. 2), est du commencement de Juin 164g [voir ci-avant, p. 358-35g). — Réponse à une lettre perdue de la princesse Elisabeth .

Madame,

Puifque voflre Alteffe defire fçauoir quelle eft ma

refolution touchant le voyage de Suéde, ie luy diray

que ie perfifte dans le deffein d'y aller, en cas que la

3 Reine continue à témoigner qu'elle veut que i'y aille,

a. Clers. : qu'elle.

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