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3^4 Table des

49. Que les veritez ne peuuent ainfi eftre dénombrées, & qu'il n'en eft pas befoin . . 46

50. Que toutes ces veritez peu- uent eftre clairement ap- perceuës; mais non pas de tous, à caufe des préjugez. »

5i. Ce que c'eft que la fub- ftance; & que c'eft vn nom qu'on ne peut attribuer à Dieu & aux créatures en mefme feus »

52. Qu'il peut eftre attribué à

l'ame & au corps en mefme lens : & comment on coii- noift la fubftance 47

53. Que chaque fubftance a vn

attribut principal ; & que ceiuy de l'ame eft la pen- Ice, comme l'extenlion eft celuy du corps 48

54. Comment nous pouuons auoir des penfées diftinfles de la fubftance qui penfe, de celle qui eft corporelle,

& de Dieu >'

55. Comment nous en pouuons auffi auoir de la durée, de l'ordre & du nombre 49

56. Ce que c'eft que qualité, & attribut, & façon ou mode »

57. Qu'il y a des attributs qui appartiennent aux chofes aufquelles ils font attri- buez, & d'autres qui dé- pendent de noftre penfée. . »

58. Que les nombres & les vni-

uerfaux dépendent de no- ftre penfée 5o

59. Quels font les vniucrfaux. »

60. Des diftindions, & premiè-

rement de celle qui eft réelle 5i

61. De la diftindion modale. . 52

��Principes

62. De la diftinftion qui fe fait par la penfée 53

63. Comment on peut auoir des notions diftindes de l'extenfion & de la penfée, en tant que l'vne conftituë la nature du corps, & l'au- tre celle de l'ame »

64. Comment on peut auftl les conceuoir diftinilement en les prenant pour des mo- des ou attribus de ces fub- ftances 54

65. Comment on conçoit aufïï leurs diuerfes propriétés

ou attributs »

66. Que nous auons auftl des notions diflindes de nos fentimens, & de nos affe- dions, & de nos appétits, bien que fouuent nous nous trompions aux juge- mens que nous en faifons. 55

67. Que fouuent mefme nous nous trompons en jugeant que nous l'entons de la douleur en quelque partie

de noftre corps w

68. Comment on doit diftin- guer en telles chofes ce en quoy on peut fe tromper d'auec ce qu'on conçoit clairement 56

69. Qu'on connoift tout autre-

ment les grandeurs, les fi- gures, &c., que les cou- leurs, les douleurs, &c. . . 57

70. Que nous pouuons juger en deux façons des chofes fenfibles, par l'vne def- quelles nous tombons en erreur, & par l'autre nous l'éuitons »

71. Que la première & princi- pale caufe de nos erreurs

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