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CDLVIII. — 9 Novembre 1646.

CDLVII.

Descartes à l’Abbé Picot.
[Egmond], 2 novembre 1646.
[A. Baillet], La Vie de Monsieur Des-Cartes, t. II, p. 446.

Lettre perdue, dont il ne reste qu’un détail que Baillet rappelle dans l’alinéa suivant :

« Ses cheveux & ses sourcis étoient assez noirs, le poil du menton l'étoit un peu moins; mais il commença à blanchir dés l'âge de quarante-trois ans [en marge : Tom. 2 des Lettr. pag. 367][1]. Peu de tems après il prit la perruque, et on luy en trouva quatre à sa mort. Il estimoit l’usage de la perruque particulièrement pour la santé, et il ne fit point difficulté, pour la même raison, de porter l’Abbé Picot à la prendre, comme un préservatif contre les fluxions et les autres maux de tête [en marge : Lettr. MS. à Picot du 2 de Novembre 1646]. » (Baillet, II, 446.)

CDLVIII.

Descartes à Clerselier.
[Egmond], 9 novembre 1646.
[A. Baillet], La Vie de Monsieur Des-Cartes, t. II, p. 324.

Cette lettre à Clerselier, du 9 nov. 1646, a déjà été citée par Baillet, II, 301 (voir ci-avant, p. 472, éclaircissement). En voici une seconde citation :

« … M. Descartes s’étoit déchargé sur luy (M. Clerselier) de tous les soins de l’impression (des Méditations en françois), & de la

  1. Voir ci-avant t. I, p. 434, l. 21.