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m, io8. CCCLIX. — Octobre 1644. 14}

din, & de ce qu'il m'a fait efperer la faueur de Tes bonnes grâces. le fçay que c'efl particulièrement à vous que ie dois le bon-heur de cet accommode- ment ; aufli vous en ay-ie vne tres-particuliere obliga- 5 tion. & ie ferav toute ma vie, &c.

��CCCLIX.

Descartes ai P. [Bourdin].

Paris, octobre 1644. Texte de Clerselier, tome III, lettre si, p. 108-109.

« A vn Reuerend Père Iesuite », dit Clerselier, sans nom ni date. Mais, dans la lettre précédente, Descartes rappelle qu'il a eu, « ces iours passez, l'honneur de voirie Reuerend Père Bourdin » (p. 142, l. 18), et les termes de celle-ci : « lorsque i'ay eu l'honneur de vous voir » [p. 143, l. 7), montrent qu'elle s'adresse au P. Bourdin lui- même. Voir les prolégomènes des deux lettres précédentes, avec les- quelles celle-ci fut envoyée, p. i3q et p. 142.

La bien-veillance que vous m'auez fait la faueur de me promettre, lors que i'ay eu l'honneur de vous voir, eft caufe que ie m'adreffe icy à vous, pour vous fup- plier de vouloir receuoir vne douzaine d'exemplaires

10 de ma Philofophie, &, en ayant retenu vn pour vous, de prendre la peine de diftribuer les autres à ceux de vos Pères de qui i'ay l'honneur d'eftre connu. Comme, particulièrement, ie vous fupplie d'en vouloir enuoyer vnou deux au Reuerend Père Charlet, & autant au Re-

i5 uerend Père Dinet, auec les lettres que ie leur écris 11 ;

a. Lettres CCCLVII et CCCLVIII, p. 140 et 142 ci-avant.

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