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2JO Correspondance.

penser que la présente accompagnait ce Traité; elle serait alors Ju 10 novembre. Mais les « encloses » dont il est question (/. 3), sem- blent être, non seulement la « Lettre à Messieurs de Sorbonne ». que Descartes envoyait séparée du Traité {voir lettre CCXVI ci-après, p. 23 g, l. i~], mais aussi sans doute les suivantes, CCXV et CCX\ I, adressées au P. Gibieuf et à Mersenne et datées du ii novembre, quoique ne devant arriver à Paris qu'en même temps que le manuscrit des Âléditations. Voir ci-après le début de la lettre CCXVIII.

Monfieur, refpere que i'auray l'honneur de vous prefentcr moy mefme ces enclofes, & ce mot n'eft que pour vous fupplier, en cas que ie ne le puiffe, de les vouloir ioindre auec l'efcrit de metaphyfique que i'adreffc au Père Mercenne\ le fuis,

Monfieur,

Voftre très obeilTant feruiteur,

DESCARTES.

��CCXIV.

Descartes a Mersenne.

Leyde, ii novembre 1640. Texte de Clerselier, tome II, lettre 45, p. 262-265.

Mon Reuerend Père, lo

le vous remercie des nouuelles du fleur [Voëtius];

a. Le manuscrii des Meditationes semblerait ainsi avoir clé cnvoyc la veille à Constantin Huygens, peut-être sans lettre, mais par l'intermédiaire d'une personne sûre, chargée de recommandations verbales. Voir la lettre CCXVII ci-après, adressée à Huygens.

b. Voetius Inst., N. Clers. — Voct s'était adressé directement au P. Mer-

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