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le livre de désir

y rencontre une abondance, des parfums qui la gênent.

Sur les vastes espaces où flotte le regard de Jean, Dorietta s’égarait. Et, percevant le peu qu’il l’a faite, elle ne soupçonnait pas de combien il l’entoure.

… Lui-même, dans sa pensée plus allègre pourtant que le vent sur leurs têtes, hésite, s’encombre. Il voyait son déplaisir et comme elle se dérobe.


Les Borghèse conservent une aquarelle de Christian Baur qui montre au dix-septième siècle leur jardin envahi par des capitans, de luxueux Orientaux. — Désirs, mollesse que suggèrent des fonds d’avenues où Jean n’admettait que de l’ombre !

Les heures où règne librement la lumière, le troublaient de leur chaleur,