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En rentrant à Paris après trois jours passés à Montluzac et à Capdeuilles, Odon écrivit à sa grand’mère, qui se trouvait en ce moment en villégiature chez un de ses neveux. Il lui exposait la situation de Roselyne et la nécessité où il se trouvait de s’occuper d’elle. Mme  de Liffré répondit aussitôt que, d’après le portrait qu’il lui faisait de cette jeune fille, elle se réjouissait de l’avoir près d’elle. Et elle ajoutait : « Quant à la dame de compagnie, il est, en effet, indispensable de lui en donner une, car mon âge et ma presque cécité m’empêcheraient de lui être un mentor suffisant. Mais à qui nous adresser pour trouver la personne