Cette page n’a pas encore été corrigée
<poem>
— 49 —
à^f.xsv cl; P£),£|XVOV,
[léaoi; 6à xapôcri; jxey {larriv 8’ 'é-/w Po£;r,v *
QU’IL EST VAINCU D’AMOUR
Je veux aimer a ceste heure, Amour le veut & m’asseure. Hier à son mandement N’obeissant nullement Fis refus : il se courrouce, Il prend son arc & sa trousse. Et me semont en camp clos. Pour le combattre, dispos D’un corselet je me charge, Je pren la hache et la targe, Et fay telle d’assaillant Comme un Achille vaillant. Cent & cent traits il me tire, Et parant je me retire : Puis quant il eut desempli De traits son carquois rempli, Il se transforme en sagette, Et despit sur moy se jette,
V. 19. — Le texte de Henri Estienne et celui de la plupart des éditions porte : paX^ixiô’ »;«, d’où le contre-sens des traducteurs français.