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Le Passé Religieux


» Il vous faut donc, levant la tête
» Vers la tour qui chante, songer,
» Puisque le Ciel se met en fête,
» Que tout va sans doute changer.

» J’en ai tant vu ! Je suis si vieille !
» En vérité, je vous le dis,
» Moi, la séculaire merveille :
» Après l’enfer, le Paradis ! »


Ô gai carillon catholique,
Puisse ta rassurante voix
À la foule mélancolique
Rendre la gaieté d’autrefois !

Et maintenant, avant de tourner la page :

Il reste tant d’anonymat dans la glorieuse Notre-Dame de Rouen qu’on ne saurait quitter cette Cathédrale et ses drames sans répéter les