Mlle Mombelli[1] et Marie. La dame y était. I am very fond of tkis pretty lady. I was looking at her incessantly.
— Il faut absolument composer, à mesure qu’ils me viennent, tous les sujets intéressants. Je sais, par expérience, que je ne peux en tirer parti, quand c’est pour les exécuter au moment.
A Marie Aubry (modèle) | 2 fr. |
Vendredi 18. — Le matin, chez Fielding, — et ma planche au Musée. A l’atelier, mon fond. Fedel venu.
— Aux Français. La belle Mme Biez. Pierre de Portugal, et les Plaideurs sans procès[2].
Samedi 19. — Avec Pierret et Fielding, à Montfaucon.
Vu Cogniet et le tableau de Géricault. Vu les Constable. C’était trop de choses dans un jour. Ce Constable me fait un grand bien.
Revenu vers cinq heures. — J’ai été deux heures à mon atelier. Grand manque de sexe. Je suis tout à fait abandonné.
- ↑ Esther Mombelli, cantatrice italienne, qui obtint de 1823 à 1826 un immense succès au Théâtre-Italien ; elle épousa le comte Gritti en 1827 et renonça ensuite définitivement au théâtre.
- ↑ Pierre de Portugal, tragédie en cinq actes et en vers, de Lucien
Arnault, représentée pour la première fois au Théâtre-Français le 21 octobre
1823.
Les Plaideurs sans procès, comédie en trois actes et en vers, d’Étienne, représentée pour la première fois au Théâtre-Français le 29 octobre 1821.