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des sentimentalités niaises et ce qu’il voulait, que la musique ne continuât pas sempiternellement à illuminer nos nuits, tant bien que mal, mais qu’elle remplaçât le soleil. Je puis vous assurer qu’il y a du soleil dans la musique de R. Strauss. On a pu constater que la majorité du public n’aime pas ce genre de soleil, car des dilettanti pourtant fameux donnaient des signes non équivoques de leur impatience. Cela n’a pas empêché, du reste, que l’on saluât R. Strauss d’ovations enthousiastes… Je vous répète qu’il n’y a pas moyen de résister à la domination conquérante de cet homme !