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LE CHEVALIER

dans un accès de frénésie, s’élança pour lui sauter au visage et le mordit au doigt.

— « Allez chercher le chirurgien vétérinaire, » dit-il à sa servante, en s’enveloppant la main de son mouchoir.


— « Votre chat est enragé, » lui dit le chirurgien en entrant.

Et comme il lui voyait le bras en écharpe :

— « Vous aurait-il mordu, » continua-t-il avec anxiété ?… A Dio mio, non cé piu remedio !

Mon Dieu, il n’y a plus de remède ! »