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FALARDEAU.

C’était peu lucratif.

Aussi faisait-il piteuse vie :

Huit sous par jour.


Une matinée, comme les commandes ne l’accablaient pas, il lui prit fantaisie, non pas précisément pour s’ouvrir l’appétit, d’aller prendre les bains de mer en compagnie d’un jeune français de sa connaissance.

Une vieille Livournine, qui les voyait se baigner du rivage jette tout-à-coup un cri d’épouvante.

Falardeau venait de disparaître sous les vagues.

Aux cris d’angoisses de la vieille paysanne et du jeune français qui