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Il étala sur mon pupitre, des rubis, des émeraudes et deux saphirs :

« — Prenez cette loupe, me dit-il, et séparez les vraies pierres des fausses. »

Ainsi commença mon apprentissage qui se poursuivit patiemment, chaque jour, pendant près de trois mois.

Un jour, je remarquai que le père Mark était nerveux, préoccupé. Cela me fit de la peine car je l’aimais beaucoup. À mes questions il répondit de façon vague. Par la suite j’observai qu’il était de plus en plus préoccupé, de plus en plus sombre.