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ERNEST GAUBERT 115 auteurs modernes, 1906. — François Coppée, essai. Sansot et 0, 1906. — Rachilde, essai. Sansot et Cie , 1906. — La Sottise espérantiste, essai, préface de M. Rémy de Gourmont. Paris, Bernard Grasset, les Editions nouvelles, 1907. — Les Roses latines, poèmes, préface de M. Pierre Louys, Paris. Sansot et C 1 ", 1907. A consulter.— Henry Rigal, Ernest Gauoert, «l’Hérault », 5 mars 1902. — « La Dépêche de Toulouse », 14 octobre 1904. — Henry Bauquier, Quelques poètes de l’Hérault. Béziers, Fabre, 1903. — Laurent Tai- Ihade, Chronique, « le Français », 20 janvier 1901. — Jean de la Hire, Articles divers dans « le Courrier français», «l’Hérault», « la Jeune Champagne». — Georges Casella, Chronique, « Revue illustrée», 1" juin 1905. — Raoul Ralph, Ernest Gaubert, conférence à la Bodinière, 6 avril 1900. — Ernest Gaubert, Peints par eux-mêmes,* le Tout Mont- pellier », 10 juin 1905. — Chronique des livres, des journaux et des revues depuis 1900. — Baoul Davray, les Roses Latines, l’Éclair de Montpellier, 27 octobre 1907. A Sylvia. Si l’été nuptial a mûri tour à tour, Par les maternités ou le savant amour, Ta gorge fière, tes flancs purs, ta chair nacrée, Elle subsiste en toi lumineuse et sacrée, Visible à nos yeux seuls qui l’adorent encor, L’image d’autrefois par notre avril aimée ; Te voici souriante et la fleur embaumée De tes trente ans sourit au destin qui la mord. Nous voici tous ceux-là que ton cœur ignorait, Debout sur ton chemin, respectueux et tendres, Et qui sentent encor palpiter, sous les cendres De leur désir ancien, quelque désir secret.