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mourir pour lui, puisque ses filles, ses femmes, ses mères, pour lui, acceptaient la séparation, la douleur silencieuse, lourde, longue, si longue de « celles qui restent », inconsolables, fidèles, auprès d’un tombeau ? L’amour est fort comme la mort !
Marie-Claire DAVELUY
(Fin de la deuxième partie)
N. B. — Ce roman aura une troisième partie, intitulée : Le mariage de Josephte.