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Josephte se tenait près de Sophie, la cuisinière, et sa voix claire, ses rires parvenaient jusqu’à Michel.
— Je t’aime beaucoup quand même, va !
— Ah ! ah ! ah ! Ce quand même est délicieux, petite. Mais où est passé Michel ? Je ne le vois plus.
— Je suis ici, monsieur, répondit le garçonnet. qui sortait d’un fourré et présentait à Josephte des fraises des champs sur une large feuille.
— Je les apporterai à grand’mère, n’est-ce pas Olivier ? Oh ! que c’est aimable à toi, Michel. Merci, merci, cria joyeusement Josephte.