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… ma chérie… Tes danseurs vont s’en étonner…

— Oui, Jules Paulet, comme vient de me le lancer comme en un défi, mon pauvre Michel.

— Tu ne lui as pas expliqué tout de suite…

— Oh ! toi aussi, tu parles des explications ! que je devrais donner à Michel… Moi ! moi Qu’ai-je fait ? N’est-ce pas lui qui avait à se justifier de combien de choses ?..

— Allons, ne te cabre pas ainsi. Tu lui aurais expliqué, ai-je voulu dire, ce qui en était vraiment de tes relations avec Jules. Et lui, en t’entendant, se serait peut-être décidé de son côté, à parler…

— Non, cousine, jamais je n’en viendrai à la moindre concession.

— Comme tu l’aimes, petite, pour t’entêter ainsi !

— Oui, c’est l’immense concession que je lui accorde… mais il faut qu’il l’ignore. Il a sa fierté. J’ai la mienne.

— Pauvres enfants ! Ne jouez pas trop avec le bonheur, au moins. Ah ! voici Jules Paulet… Josephte pince un peu tes joues… Tu es trop pâle.

— On voit que j’ai pleuré ?

— Non, heureusement. Mais as-tu vraiment