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tivement, Pierrot aime oncle André parce qu’il rit… Tu es triste, toi, tante Perrine aussi. Elle a pleuré beaucoup, hier soir… Elle…

— Voyez-vous ce petit bavard, fit Charlot, en caressant les boucles de son fils et en l’interrompant. Il avait vu rougir Perrine… et constaté l’embarras de tous. Allons, reprends mon fils, ma sœur, et compte sur notre prompt retour.

André de Senancourt, en conduisant le petit Pierre près de sa tante, tendit la main tout à coup à la jeune fille. Aucune ironie ne brillait dans son regard.

— Mademoiselle Perrine, souhaitez-nous quelque chance… puis, plus bas, il ajouta : vous serez deux jours sans avoir à souffrir des