Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
191
LE TRÉSOR D’ARLATAN
Devant le mas, c’était splendide, tout le marécage allumé, l’étang, les canaux pleins d’étoiles, traversés jusqu’au fond par la lune.
« Bonne nuit, petite Zia, dit Henri tout bas à l’enfant dont le front rayonnait, mystérieux et blanc comme une hostie… Quand tu viendras à la Cabane, nous lirons encore des poètes : ce sont les poètes qui nous sauveront. »