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ou bien la mélancolique invocation à la patrie lointaine : « Danemark, avec tes champs et tes prairies splendides, fermés par l’onde bleue… »

*

… À présent on ne chante plus chez les Ebsen. Le piano est muet, les bougies du salon éteintes. La vieille Danoise est partie vers un pays que rien ne ferme, des champs et des prairies splendides, mais si lointains et si vastes que personne n’en est revenu jamais.