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ajouta le préfet, toujours en souriant. Vous comprenez maintenant, général, pourquoi nous ne sommes pas pressés de faire marcher vos hommes. On en a malheureusement trop fait partir de ceux qui voulaient rester. Il n’en faut plus. Sur ce, Dieu sauve la République, et bien le bonjour à vos lapins ! »