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« Allons, adieu, ma Colette chérie. Ne pleure pas. Je te dis ça, et moi, les larmes m’aveuglent. Console mon père. Pauvre homme ! Lui qui me grondait toujours parce que je venais tard aux ordres. Je n’y viendrai plus maintenant !… Adieu… adieu… J’avais cependant tant de choses à te dire… Mais non, il faut mourir. Quel sort !… Adieu, Colette.

« herbert de rosen. »