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FUMARIACEÆ.
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trois pétioles f, g et h n’étaient pas tout à fait insensibles, car, maintenus en contact avec un bâton pendant un jour ou deux, ils s’enroulèrent lentement autour de lui. Ainsi la sensibilité du pétiole diminue graduellement depuis l’extrémité en forme de vrille jusqu’à la base.


Fig. 8.
Corydalis claviculata.
Vrille foliaire de grandeur naturelle.


Les entre-nœuds de la tige ne sont nullement sensibles, ce qui rend d’autant plus surprenante, pour ne pas dire impro-