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ET CONCLUSIONS.

croisement, mais qu’elle est souvent spontanée. Mais, lorsque nous cherchons la cause d’une variation de bourgeons donnée, nous tombons dans le doute, car, dans certains cas, nous sommes conduits à admettre comme suffisante une action directe des conditions extérieures, et dans d’autres, nous éprouvons la conviction profonde que celles-ci n’ont dû prendre qu’une part très-accessoire au résultat, part dont l’importance n’est pas plus grande que celle de l’étincelle qui enflamme une masse de matière combustible.


FIN DU PREMIER VOLUME.