l’amande comparée au noyau de pêche. Mais le noyau de l’amandier varie beaucoup par sa forme, sa dureté, sa grosseur, le degré de son aplatissement et la profondeur de ses sillons, suivant ses diverses variétés, comme le montrent les figures que je donne ci-dessous (fig. 4–8), des différentes sortes que j’ai pu recueillir. Le degré d’allongement et d’aplatissement paraît aussi varier dans les noyaux de pêche (fig. 1–3), car on voit que
celui de la pêche-miel de Chine (fig. 3) est plus long et plus comprimé que le noyau de l’amande de Smyrne (fig. 8). M. Rivers de Sawbridgeworth, horticulteur expérimenté, à qui je suis redevable de quelques-uns des échantillons ci-dessus figurés, m’a signalé plusieurs variétés qui relient le pêcher et l’amandier. Il y a en France une variété nommée la pêche-