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j’outragerai dans l’ombre et je menacerai la nuit ― quitte à frapper, s’il le faut. Je n’oublierai rien. Et je ne faiblirai pas, car j’aurai toujours, pour me soutenir : la rage.


Un chaouch m’aborde.

— Froissard, ce soir, aussitôt après le travail, vous vous mettrez en tenue, sans armes. Veste et pantalon de drap. Vous êtes commandé pour l’enterrement.

— L’enterrement de qui, sergent ?

— De Palet.