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ger avec la honte de la guérir de ses vilains défauts.

Une grande fille, ou une jeune femme qu’on oblige à ouvrir elle-même son pantalon pour présenter son derrière nu, rougit au premier mot, et n’obéit généralement qu’à un ordre réitéré, à la menace d’un châtiment terrible ou de recevoir double dose. C’est un grand charme que de voir des doigts tremblants écarter la fente pour découvrir l’objet condamné, et le présenter à la verge ; souvent un postérieur du plus beau blanc, rougit de honte à vue d’œil, et si on inspecte à ce moment la figure de la patiente, on peut être assuré qu’elle est empourprée jusqu’à la racine des cheveux. Prolonger son plaisir et en augmenter l’intensité, rien n’est plus émoustillant en effet, comme le ravissant spectacle d’une victime pudique, fille ou femme, que la mise à nu de ses parties, qu’elle appelle et croit honteuses, couvre de confusion, surtout quand on l’oblige à être impudique, que c’est elle-même, contrainte par la peur d’un sévère châtiment,