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qui risque d’être récalcitrante. Margaret prend la blonde, qui est la douceur personnifiée. Elles prennent les jeunes filles sous leur bras gauche, relèvent les dessous, et tandis que Mrs. Whipping et Mrs. Skin-Tear épinglent la chemise dans le haut des jupes, les deux soubrettes ouvrent le pantalon, qui est fendu jusqu’aux genoux, mettant à nu les cuisses rondes et toute la croupe d’une blancheur éblouissante et d’une splendeur remarquable, à droite comme à gauche.

Mrs. Whipping va retirer son peignoir et la chemise, et vient rejoindre la société, en contemplation devant le satin neigeux des ravissantes mappemondes, au-dessous desquelles on voit la fente virginale, étroitement barré par deux lèvres vermeilles, ombragées ici de petits frisons roux, là de courts cheveux noirs.

Lady Lovebirch devant l’une, lady Fairbottom devant l’autre, patinent les chairs un moment ; puis, tenant la main, elles appliquent une demi-douzaine de claques sur le postérieur, qui prend une teinte rose, et elles le quittent à regret. Deux autres viennent prendre leur place