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près quelque chose qui l’intéresse entre les cuisses, et elle constate, le nez sur l’objet, que la fustigée est toute mouillée, et que quelque chose brille qui n’est pas du sang, au milieu des poils noirs.

Quand j’ai délivré la victime, et qu’elle a disparu, je donne à lady G. l’explication du phénomène qu’elle vient de remarquer. Elle n’en est point surprise, car elle m’avoue qu’elle a éprouvé elle-même une délicieuse sensation en fessant Marie, et qu’elle était sur le point d’en ressentir une semblable quand je l’avais arrêtée. Elle n’avait jamais éprouvé rien d’aussi agréable depuis son mariage. Devant cet aveu, je m’empresse de lui persuader, que, si elle veut goûter un plaisir divin, elle n’a qu’à se laisser caresser avec la verge, que quelques légers coups suffiront pour la diviniser, dans l’état avancé où le stimulant exercice l’a laissée.

Je la trouvai, non incrédule, mais irrésolue ; et cependant ses yeux vifs et brillants disaient clairement, qu’elle avait le feu quelque part. Elle hésitait encore, quand, tout-à-coup, la porte de