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tout d’une blancheur de neige, le beau derrière épanoui, s’offrant dans toute sa splendeur aux caresses de la verge.

Lady G., les yeux grands ouverts, contemple avec ravissement cette belle chair nue, au satin tendu, lisse et luisant ; c’est la première mappemonde qu’il lui est donné de voir ainsi étalée, ses yeux disent son étonnement et sa satisfaction ; son teint, si pale d’ordinaire, s’anime, ses yeux froids s’allument, sa gorge palpite sur sa poitrine, soulevée par l’émotion.

— Voulez-vous la fesser vous-même, lui dis-je.

Elle rougit beaucoup, sa tête semble dire non, mais son regard éloquent dit oui. J’insiste pour qu’elle se décide à rougir le blanc satin ; elle consent enfin, et s’approche de la croupe, vivement impressionnée. Sa main se lève, mais elle ne retombe pas. Elle s’abaisse peu à peu, se pose tout doucement sur la chair appétissante, et reste à plat sur la peau blanche. Sa gorge s’agite, soulevant son corsage, ses lèvres tremblent, sa main glisse sur le doux tissu, se