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joli cul rose la correction promise. À peine les lanières retombent sur les fesses potelées, que Miss Flowers se met à gigoter violemment, et à crier comme une brûlée ; mais la maîtresse, toujours lentement, frappe méthodiquement les chairs roses, montant graduellement en travers des fesses, et redescendant au bas de la croupe, sillonnant les cuisses l’une après l’autre, et après avoir cinglé deux fois le minet duveté, elle annonce à la coupable qu’elle va rester exposée, avec sa honteuse face rouge, aux regards moqueurs de l’assistance, jusqu’à la fin du châtiment de ses complices, après lequel, on reprendra le sien, qui n’est pas terminé ainsi.

On agenouille la pauvre fille devant une chaise, la tête appuyée sur le siège, la fente du pantalon ouverte, laissant voir sous les fesses empourprées, que secouent les sanglots, la petite fente ouverte, comme un bec rose d’oiseau, au milieu d’un nid de plumes.

Mademoiselle Rosa amène la seconde coupable, Miss Léoncie Moretou, une petite boulotte blond-cendré, de dix-sept ans, qui paraît agré-