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selles et par le haut du corps, on la hisse à la hauteur qu’on veut avoir le postérieur coupable, pour la main, les verges, la cravache et autres instruments de même dimension, ou pour le fouet de meunier ou de cocher, reposant sur le col, à un pied, à deux pieds, et le plus haut possible pour le fouet de cocher, de façon à atteindre avec le bout de la mèche la pointe des fesses.

La patiente peut supporter une longue correction, quand on sait ménager l’objet torturé ; les coussinets, moelleusement rembourrés, soutiennent douillettement les aisselles ; d’ailleurs, rien n’empêche de descendre la pendue pour la laisser se reposer un moment sur les pieds ; on peut en profiter pour lui caresser les fesses avec la main, ou lui donner la verge, ce qui lui fait faire des mouvements fort drôles, soit qu’elle cherche à fuir les cinglées, soit que celles-ci la poussent en avant.

Quand tu auras vu la jolie danse des pendues, tu n’auras pas de cesse que tu n’aies fait installer chez toi une potence de ce genre, qui