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dimensions, je prends la plus longue, et je m’installe devant le théâtre de mes exploits. Kate montre entre ses cuisses écartées les lèvres roses de la fente, qu’on entrevoit au milieu d’un fouillis de touffes noires, qui en masquent l’entrée. Clic, clac, la verge sillonne la chair blanche d’une longue ligne rose ; pendant cinq minutes je cingle lentement la vaste mappemonde, amenant à chaque coup un sillon rose sur l’ivoire de la peau. Je dirige de temps en temps les pointes entre les cuisses, sur les touffes qui entourent la grotte, caressant le temple de l’amour.

J’accentue la correction, cinglant violemment les grosses fesses, qui s’agitent sans qu’à la patiente échappe le moindre soupir. Clic, clac, le gros postérieur, bondit ; clic, clac, les tendres cuisses rougissent ; à un coup violent, dirigé vers la grotte, Kate pousse un cri de détresse. Je me sentais en ce moment doucement agitée. Le spectacle émoustillant du splendide fessier qui se tortille, me fait perdre mon sang-froid, et je le traite si durement, que des gouttes de sang jaillissent sur la surface entamée, tandis que la